On ne domine les hommes et les événements que si l’on sait se dominer soi-même

La colère n’est pas un signe de force ; c’est une marque de faiblesse.

Les violents sont en réalité des faibles qui cherchent des compensations et des défoulements dans la brutalité, les vociférations et l’écrasement des autres. Ce sont des terroristes qui s’ignorent.

L’homme maître de lui vaut mieux que le général preneur de villes.

Extrait du livre de Jean PLIYA : ‘‘Jeunesse béninoise, sois fière’’

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